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Et toi, tu l’aimes ton corps ?

« Et toi, tu l’aimes ton corps ? ». Toi aussi tu t’es déjà posée cette question… Au fond elle est bizarre, non ? Ton corps est pourtant sympa avec toi ! Il te permet de te lever de ton lit, de te déplacer, de travailler, d’aller voir tes copines, de faire un peu de sport. Mais, on est toujours pas sure de l’aimer ce corps. On en souligne toujours les imperfections ou ce que les autres sont supposés voir comme des défauts.

On a toutes nos « bad hair day », nos matins où, on sait pas pourquoi, on se trouve moins belles. Mais souvent, ça va plus loin cette histoire. Et on en revient à cette question : « Et toi, tu aimes ton corps ? ». Car souvent, nous nous focalisons sur des zones de notre corps, persuadées qu’elles sont disgracieuses et à éradiquer. 

Un « problème de fille » ? 

En tant que femmes, on est plus concernées par ce problème de rapport au corps que les hommes. Dans le 1er Chapitre de Beauté fatale. Les nouveaux visages de l’aliénation féminine, Mona Chollet décortique comment les jeunes filles on éduque à prêter une attention plus qu’importante à leur apparence. Très tôt, l’idée que nous devons être des beautés séductrices et que notre valeur en société en dépend nous est évidente. Or, c’est souvent à cause de cette idée qu’émergent les difficultés de rapport à notre corps

Le paradoxe de la beauté

En effet, nous incorporons l’idée que nous devons être belles selon les normes en vigueur : en ce moment c’est la minceur, les traits fins, longues jambes… bref, tu connais la chanson. Nous essayons de faire corps avec ces injonctions en vain. Pourquoi ? En effet, cet idéal de beauté est tout bêtement inatteignable et paradoxal ! La psychologue Sophie Cheval, dans l’épisode « Dis moi qui n’est pas la plus belle » du podcast Miroir Miroir le souligne bien.

« Les normes esthétiques qu’on nous propose […] sont inatteignables. […] Il faudrait à la fois être très fluette, très mince et développer des formes là où c’est bon de les développer : chez les femmes, les seins et les fesses ».

Sophie Cheval

Finalement, on est 48% à ne pas aimer ce ventre que l’on voit « rond », condition même des formes, censées faire de nous « des femmes ».

Changeons de disque

Bref, tu l’auras compris, les normes de beauté sont paradoxales et insolvables. Club Mojo, part du constat qu’on vit dans un monde où les femmes n’arrivent pas à être en harmonie avec leur corps. La cause principale pour beaucoup d’entre nous, est que nous n’avons jamais eu la chance de jouir de notre estime de soi. Club Mojo souhaite t’aider à remédier à cela. On te propose une nouvelle approche. Une approche qui t’aide a trouver une relation apaisée avec la nourriture, à te réconcilier avec ton corps et à travailler sur l’estime de soi. Aussi, nous savons que l’acceptation de soi libère d’un poids mental et physique à la fois. On a donc créé un programme qui permet changer totalement ton regard dans le miroir autant que ton reflet ! Pour le tester, tu as juste à cliquer ici et si tu veux mieux connaître notre équipe, rendez vous sur notre page A propos. Trois mois pour remettre en question les diktats de la société, c’est magique non ?  

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